JEUNES VULNERABLES : LES OUBLIES DU LOGEMENT ! 9:00 - 16:30
Par l’ASBL Solidarité Logement, en partenariat avec le Service de Prévention de l’Aide à la Jeunesse de Bruxelles, le Centre d’Action Laïque (CAL), le CEMO, ABAKA, SOS Jeunes – Quartier Libre et Capuche
Intégrer les jeunes en situation de vulnérabilité dans les politiques de l’accès au logement
Le colloque s’articulera autour des réponses politiques et globales à apporter quant à l’accès au logement pour les jeunes vulnérables en Fédération Wallonie-Bruxelles et plus particulièrement à Bruxelles.
Accéder au logement peut relever d’un parcours du combattant, particulièrement lorsqu’on est jeune et confronté à des difficultés d’ordre familial, économique ou social… Le colloque s’articulera autour des réponses politiques et globales à apporter à ce problème, en Fédération Wallonie-Bruxelles et plus particulièrement à Bruxelles.
Quatre ateliers
Ce colloque abritera quatre ateliers d’une heure et demie qui se consacreront chacun à un thème particulier et dont les conclusions animeront le débat politique de l’après-midi. Les quatre thèmes traités seront :
« Mesurer la problématique »,
« Projets concrets d’ici et d’ailleurs »,
« L’accompagnement clinique »
et « Rassembler les acteurs pour parler d’une seule voix ».
Programme
09:00 – Accueil
09:30 – Introduction, par Didier Giblet (Solidarité Logement)
09:45 – Présentation des 4 ateliers :
Mesurer la problématique, par Martin Wagener (UCL)
Accompagnement clinique, par Olivier Gatti (CEMO) et Éric Fairier (Abaka)
Projets concrets d’ici et ailleurs, par Léonie Paille (Housing First European Hub)
Parler d’une seule voix, par Thomas Lambrechts (Capuche)
11:00 – Pause-café
11:30 – Temps d’ateliers
13:00 – Lunch
14:00 – Mise en commun des ateliers, par les Ambassadeurs d’expression citoyenne
15:00 – Réaction politique
15:30 – Débat et échanges avec le public
16:15 – « Pour ne pas conclure », par Philippon Toussaint, Chargé de Prévention de l’Aide à la Jeunesse de Bruxelles
16:30 – Verre de l’amitié
SUR LE SUJET
Logement le cri d’alarme d’OXFAM