Natalia Vallebona / Poetic Punkers
Cocq’Arts Festival
Lundi 12 > Samedi 16 novembre
Un projet de rechercher sur un corps hybride
Le Burn Out est un mal contemporain.
Paradise, c’est un lieu sur lequel on aimerait tous pouvoir compter.
Natalia veut s’inspirer des symptômes du Burn Out à travers l’hybridation physique d’un langage urbain et contemporain pour affronter une thématique liée à la solitude et à la désolation. Une approche en décalage, avec un contre-pied presque glamour, pour mettre en valeur la résilience, l’espoir et le renouveau.
« Je m’appelle Natalia Vallebona. Je vis en Belgique. Je suis italienne. Je suis une danseuse, une interprète, une créatrice, une femme de presque quarante ans, une mère d’un enfant de déjà six ans, une artiste travaillant à l’échelle internationale, une nomade depuis l’âge de 19 ans, une chercheuse passionnée par le mouvement, une b-girl, une danseuse contemporaine, une travailleuse infatigable, une personne enthousiaste, une virtuose qui consacre sa vie à l’art et à la recherche. Je suis une citoyenne du monde, je me bats avec le système, je cherche à trouver ma place dans le système, je suis complètement perdue, je suis dans la deuxième moitié de ma vie, j’ai peur, je suis une goutte d’eau insignifiante dans un océan, je me cherche constamment, je suis une boîte géante pleine d’informations, je suis fatiguée, je suis un disque dur plein, je suis… Burn Out ! » - Natalia Vallebona
« « Se perdre », précisément, n’indique pas une action réflexive, comme penser, parler, toucher. En réalité, « on se perd » ou plutôt « on se retrouve perdu », où l’action réflexive est de se chercher et de se trouver, et non de se perdre. Car le phénomène dans lequel on se trouve n’est pas une action, mais une « passion » ». Franco La Cecla.
Natalia Vallebona concept, chorégraphie et interprétation
Faustino Blanchut regard extérieur
Poetic Punkers production