"Avant lui le tuba renvoyait une image d’un autre temps. Depuis qu’il s’en est emparé, le plaçant en tout premier plan, il lui a octroyé le statut inédit d’instrument leader."
De Tokyo à Berlin en passant par New York, Rio, Singapour ou Pékin, Thomas Leleu aurait pu se contenter uniquement d’une carrière de soliste classique prestigieuse s’il n’avait pas toujours été animé d’une curiosité insatiable pour toutes les musiques. Aussi à l’aise en tant que soliste classique devant un orchestre symphonique que dans un festival de jazz ou sur la scène d’une Arena géante jouant de la pop, ce « génie absolu du tuba » (La Nouvelle République), électron libre de la musique, prouve qu’il est possible de s’épanouir dans différents domaines musicaux.
Souvent comparé à I.Maalouf : « l’esprit est le même, le talent identique » (Ouest France). Ce musicien explorateur qui ne se fixe aucune limite propose une fusion de genres, une célébration de la diversité musicale. Il rend hommage à toutes les musiques qui l’ont inspiré et qui ont fait de lui, l’enfant du milieu classique, passionné par la pop et les rythmes latins : un OUTSIDER.
Elu à 24 ans "Révélation soliste instrumental de l’année" aux Victoires de la Musique 2012, il est le premier tubiste de l’histoire à obtenir cette distinction.
Considéré comme « l’un des plus grands tubistes du monde » (France Bleu), comparé au « Mozart » de sa discipline, il est une star mondiale de la Musique » (TMC,Yann Barthès).
« Avant lui le tuba renvoyait une image d’un autre temps. Depuis qu’il s’en est emparé, le plaçant en tout premier plan, il lui a octroyé le statut inédit d’instrument leader. Aussi à l’aise en tant que soliste classique devant un orchestre symphonique que dans un festival de jazz ou sur la scène d’une Arena géante jouant de la pop, ce « génie absolu du tuba » (La Nouvelle République), déploie une musicalité et une agilité surprenantes.